Ce n’est pas sale.
Ça faisait un moment que je voulais me tenter au matelotage. On doit revoir le gréement du bateau, et changer tous les bouts. Il y aura pas mal d’épissures à faire, sur pas mal de bouts, et à quelques petites dizaines d’euro l’épissure par un pro, on peut gagner un peu d’argent. Et puis, à la base, apprendre, savoir faire, c’est bien.
J’ai donc commencé à acheter les petits outils de mon kit de matelotage : un épissoir et du fil à surlier.
J’avais un bout dyneema que je destinais à la balancine (ou comme drisse de GV, je ne sais plus trop), dont j’avais dû couper un petit morceau. Et sur ce morceau, l’âme débordait largement de la gaine, il fallait stopper l’hémorragie.
YouTube à la rescousse, je me suis donc tenté à la surliure par le nœud de capucin, magistralement expliqué par Patrick Moreau (merci Patrick !). Et hop un bout qui ne bougera plus, et les suivants qui savent à quoi s’attendre.