Sans échelle, je ne me voyais pas trop aller monter puis descendre l’établi et le safran qui pèse son poids, donc on reste au chaud et on s’amuse avec trois bouts de ficelle.
Commentaires désactivésCatégorie : Le bateau
Il faut toujours qu’il y en ait une, de vis, qui se rebelle et qui nous fasse passer des heures à se battre avec elle pour un résultat jamais garanti.
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Dans le cadre de mon entraînement accéléré au ponçage, et en attendant une machine plus adaptée aux oeuvres vives, aujourd’hui, on met le safran en poudre.
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Je ne sais pas ce qui s’est passé, mais le résultat est là : le grattage est achevé !
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Il eut-été plus malin de le faire avant de remâter le bateau, mais mes grattougnes sous la coque me semblaient devoir passer avant. Toujours est-il que le remplacement des bouts, drisses, écoutes est en cours.
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Aujourd’hui, on remâte le bateau, toujours avec la méthode Henri, et avec l’aide de mon pote Arnaud (merci Arnaud !) ainsi que de celle d’un tout nouveau propriétaire d’Edel 4 et de son vendeur (merci à vous deux !).
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Aujourd’hui j’ai appris un nouveau mot qui vient enrichir mon lexique de marin. Je connaissait l’objet, mais n’avais jamais cherché à lui donner un patronyme. Goupille percée, tel est son nom !
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Mercredi je me donnais pour objectif de finir de gratter la coque sur le côté babord, en émettant quelques réserves liées à la surface à couvrir. Ce soir, j’ai même fait mieux que prévu, découvrant ainsi une partie du côté tribord !
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