Les activités du Petit du samedi ont repris, rendant bien plus difficile les allers sur le bateau le week-end.
Cet après midi, on a quand même trouvé le temps de se rendre sur place, au programme : grattage de l’antifouling, et mesure des bouts pour se détendre.
Armé d’un racloir, d’un masque à 3€ (car les shipchandlers du coin n’avaient pas de masque à cartouche), d’une combinaison, et de lunettes de protection, on a commencé à essayer de gratter la coque pour un résultat tellement peu probant que le gars du chantier qui avait pris pitié de nous nous a proposé de nous montrer ce qu’on pouvait faire avec une meuleuse et un peu de savoir-faire.
Le résultat est sans appel : en 1 minute, il a réussi à nous mettre à nu un demi mètre à l’avant du bateau…
Et même en essayant de gratter sur la bordure de ce qui a été enlevé, notre petit grattoir ne se montre pas l’outil de la situation.
Bon, au moins on a sur nous de quoi mesurer les bouts qu’on doit changer, et c’est plutôt simple : on commence par la balancine, la drisse de GV, on découvre des bouts dont l’usage nous semble plutôt obscur, et on se dit que tant qu’à mesurer ce qui concerne la GV, ce serait bien de finir par son écoute. Oui mais voila pas de palan d’écoute ni d’écoute… bref on a passé la fin de l’après midi à vider le coffre en espérant la trouver là.
Le coffre est désormais rangé et propre (même si un bon coup de ponçage et de peinture serait bienvenu), mais pas de palan d’écoute de GV.
[…] En précisant que la partie de coque mise à nue est du fait d’une petite incompréhension avec notre ancien chantier. […]
[…] On gratte ? […]
[…] plus de peinture, on est sur la fibre presque partout. Du coup, je sais aussi comment j’irai traiter mes coffres qui sont dans le même […]